lundi, mars 16, 2009

Raid EDHEC > le team au complet

Lors d'un précédent post, je vous faisais part de notre rercherche d'un quatrième équipier. C'est chose faîte avec Guillaume qui nous rejoint, ainsi qu'Aurélie qui remplace Donatienne, qui va partir un mois en Asie. Bref c'est la fin du casting, place à la préparation.

Le team:
Marie-Servane Mollet : grande espérience de l'outdoor, elle a passé plusieurs années en Nouvelle-Calédonie, et en plus elle a un nouveau VTT qui déchire !
Aurélie Chasle : un 100km à Honk Kong, nous avons partagé ensemble le Défi Raid-Up et le Raid28 où elle a fait preuve d'une belle constance en orientation et physiquement. Un modèle increvable.
Guillaume Richard : excellent camarade de rugby au THS, il a joué au niveau Européen, et connait bien les notions d'engagement et de fraternité. Il se lance dans le Raid Multi-Sport pour goûter à de nouvelles sensations. Son physique d'athlète et sa bonne humeur permanente sauront nous aider à aller au bout.
Stéphane Couleaud : le plus vieux de la bande, mais pas forcément le plus expérimenté en Raid, je vais assurer le capitana du team et tenter de faire profiter de mon expérience de la gestion du "long".

L'entrainement individuel est la responsabilité de chacun, il ne nous reste plus qu'à organiser la logistique pour ce Raid de 4 jours sur environ 250km qui aura lieu sur Nice du 20 au 24 mai.

A suivre ...

Bénévole sur l'Ecotrail de Paris > la course dans la course

Pour avoir fait la course l'année dernière, j'avais souhaité la voir du côté organisation.
Bombardé responsable de la zone départ, avec 8 bénévoles, dont mon père Georges et des membres de l'association des Souffles de l'Espoir Courir contre la Mucovisidose.

Nous avons récupéré dés 6h30 les camions préparés et remplis avec tout le matériel.
A 8h nous retrouvons les bénévoles sur site à a base de loisir de St Quentin. 2h pour installer le petit-dej coureur, la récup des sacs, baliser le trajet jusqu'au départ, installer l'arche de départ les barrières et toutes les banderolles et flammes sponsors. Dans le même temps il faut dés 9h45 récupérer les coureurs arrivant de la gare RER et organiser l'accés aux navettes.
A partir de 11h tout est prêt, le gros des coureurs est là, et reste les derniers détails à régler : dossards inversés avec la puce, 20 coureurs qui ont raté le RER et pour lesquels il faut réserver et organiser une dernière navette en plus à 11h36. Les chronométreurs de Top Chrono managés par Romain arrivent et installent leur matos.
12h et quelques minutes, le top départ est donné ... et il faut tout désinstaller !
1h pour tout enlever et ranger le matos dans les camions, le plus long est de charger un par un tous les 1100 sacs coureurs. Surtour que certains ont carrément chargé leurs sacs de plomb et de parpaings ! Pensez aux dos des bénévoles les gars. Nous faisons deux allers et retours au stade Emile Antoine près de la Tour Eiffel, où une chaine humaine s'organise pour monter tous les sacs au 1er étage du gymnase. en tout plus de 2000 sacs portés, on a tous un peu mal au dos.
vers 17 nous ramenons les cammions à Issy les Moulineaux, la mission est terminée. Ouf ! Nous pouvons enfin manger un morceau et aller nous ballader à l'arrivée pour voir les premiers coureurs arriver au 1er étage de la Tour Eiffel.
On y croise avec mon paternel le camarade Sanglier qui joue au journaliste avec qui on assiste à l'arrivée des trois premiers dont Benoît Laval. Et parmis les coureurs croisés : Val et Nicolas heureux d'en avoir terminé. Dommage je loupe Irina alors que je suis redescendu manger au buffet.
Je termine la journée exténué et m'endore dés 22h !

Globalement je suis trés impressionné par le travail réalisé en amont depuis 1 an par Hervé Pardailhé (directeur de course), Laurent Sturtz (responsable bénévoles) et tous les organisateurs de l'Ecotrail. Pour les bénévoles, il n'y plus qu'à suivre les instructions le jour J. Une mécanique bien huilée sur cette deuxième édition. Organiser une course n'est vraiment pas une sinécure ! C'est bien d'en prendre conscience lorsque l'on court. Cela permet d'apprécier le travail d'organisation et de pardonner les quelques imperfections ici et là.